Publié dans Politique

Catastrophes naturelles - Un don de 200.000 dollars octroyé par l'Union africaine 

Publié le mardi, 26 novembre 2024

L'Union africaine (UA) a remis un don de 200.000 dollars américains aux autorités malagasy. Ce soutien vise à appuyer les efforts du pays en matière de gestion des catastrophes naturelles. La cérémonie y afférente a eu lieu hier en présence de Willy Nyamitwe, ambassadeur du Burundi et chef de la mission d'évaluation humanitaire de l'UA à Madagascar. Ce financement fait écho aux récentes catastrophes climatiques qui ont frappé l'île. Selon le ministère des Affaires étrangères, « entre 2022 et 2024, Madagascar a été affecté par plusieurs cyclones et tempêtes tropicales.

Ces événements ont touché 444.224 personnes, causé le déplacement de 174.489 individus et détruit plus de 110.000 hectares de rizières, aggravant ainsi l'insécurité alimentaire. Les infrastructures ont également subi de lourds dégâts, entraînant des pertes financières considérables ».

Dans ce contexte difficile, le Gouvernement dirigé par le Président Andry Rajoelina poursuit ses efforts pour améliorer la résilience du pays face aux catastrophes, en s’appuyant sur la Politique nationale de lutte contre le changement climatique (PNLCC) et les actions du Bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC). Selon le communiqué officiel, « le soutien de l'UA s'inscrit dans une démarche plus large de solidarité panafricaine, visant à renforcer la coopération régionale pour un avenir plus résilient, conformément aux objectifs de l'agenda 2063 ».

 

Carinah Mamilalaina

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Editorial

  • En pis !
    On s’attend au pire. La pluie tarde à tomber. Pour des raisons qui échappent au commun des mortels, « madame » boude. Jusqu’à hier tard dans la nuit, elle n’a pu arroser les sols ici-bas ni verser ce bien trop précieux devenu si rare ces derniers temps. De mémoire d’homme, un septuagénaire, soixante-seize ans pour être précis a déclaré qu’il ne se souvient point d’avoir vécu un janvier sec du moins en ce début du premier mois de l’année. Naturellement et habituellement voire climatiquement parlant, le premier des douze de l’année, censé être la période où la pluviométrie accuse une densité la plus élevée, subit une sécheresse troublante. C’est en principe le mois le plus humide de l’année.

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